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Avec l'arrivée de l'hiver, le retour chez soi constitue une expérience des plus appréciables. On y redécouvre parfois la façon dont la lumière peut magnifier ces choses si quotidiennes que l'on y porte plus vraiment attention.
L'hiver renouvelle le regard, apporte ce je-ne-sais-quoi à des choses si banales.
Réaliser des portraits posés, c'est parfois sentir que l'on accède, de façon ma foi bien mystérieuse, à la vérité d'une personne. C'est sans doute une illusion, mais qui ne va pas sans conséquences sur ma pratique de portraitiste. Elle contribue à l'épurer, à privilégier la fulgurance de l'émotion, avec qui tout s'accélère et se révèle dans une étonnante simplicité.
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